Vers 700 En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteE
En 719 (et ils y resteront 40 ans), les Arabes prennent Narbonne renommée Arbûna. Dès 720, leur cavalerie légère fait des raids incessants vers l'ouest, vers Toulouse capitale du duc Eudes, fils du duc Loup. Par la voie romaine, les Berbères atteignent le plantureux Lauragais où ils pillent au hasard. Ils se heurtent parfois à des cavaliers basco-gascons chargés de la sécurité.
Après avoir été attaquée par surprise et taillée en pièces --3700 morts-- sous les murailles de Toulouse le 6 juin 721, l'armée d'invasion musulmane reflue vers Arbûna. Les fuyards sont poursuivis par les chevaliers du prince Eudes jusque dans le Lauragais, non loin de Soupex, où al-Samh lui-même (le gouverneur de l'al-Andalus) est rattrapé et criblé de coups de lances.
Entre 720-730, les Ommeyades (venant d'Al-Andalus) sont maîtres de la Via Aquitania et font l'aller-retour Narbonne-Toulouse. Donc régulièrement des cavaliers arabo-berbères bifurquent aux stations de Castel, Ricaud ou Montferrand pour razzier la campagne lauragaise, en quête d'esclaves et de blé. A chaque razzia, c'est pareil : un cor sonnant l'alarme, la panique et la fuite dans les bois ou les souterrains-refuges, l'attente en stressant, les prières. Et qq jours après, retour au village pour survivre avec ce qui reste.
Fin 732, après sa défaite à Poitiers --12 000 tués-- face aux Francs, l'armée d'al-Rahman fait retraite vers sa base arrière Narbonne. En redescendant, le convoi (10 000 soldats + familles + butin) évite Toulouse, préférant ravager Limousin, Quercy, Albigeois, Lauragais... Cet hiver-là, les gens de Soupex ont passé l'hiver terré dans leur souterrain-refuge ou "clusel".
De 725 à 737, une garnison d'élite musulmane (avec femmes et enfants ?) occupe Carcassonne, face à Toulouse capitale du duc gallo-romain Eudes. Entre les deux villes, les champs du Lauragais servent de marche frontière. Avec leurs rapides chevaux de guerre (les Barbes), les Berbères s'occupent de nourrir la troupe. Ils prélèvent des sacs de blé ici ou là, parfois à Soupex.
Vers 740 En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteE
Vers 760 En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteE
Vers 780 En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteEn attente En attente En attente En attente En attente En attente En attente En attenteE